Hypercar écolo ?! La Lamborghini Terzo Millennio

Hypercar écolo ?! La sauvage Lamborghini Terzo Millennio

Hypercar écolo ça vous parle ? De nombreux constructeurs automobile comme Audi, Mercedes ou Aston Martin se lancent dans l’électrique afin de s’adapter aux normes environnementales. C’est également le cas pour Lamborghini, qui nous présente son dernier concept : la « Lamborghini of the Terzio Millenio ».

Cette supercar est le fruit d’une collaboration entre le MIT (Massachusets Institute of Technologies) et Lamborghini.

Un look agressif et un design qui reprend les lignes actuelles de Lamborghini s’ajoute à un pare-brise qui plonge vers l’avant, pour offrir une esthétique futuriste, presque provocante, mais assurément séduisante. « Nous nous inspirons de ce qui est impossible aujourd’hui pour créer la réalité de demain » affirme Stefano Domenicali, le patron de Lamborghini.

 

Hypercar écolo ?! La sauvage Lamborghini Terzo Millennio

 

Une mécanique folle mais pourtant écologique.

Outre son design, ses caractéristiques sont également futuristes : l’utilisation de batteries ultra-fines dans la carrosserie, un supercondensateur pour une puissance optimale, 4 roues motrices (avec un moteur électrique pour chacune des roues) et une carrosserie intelligente qui permettra de déterminer l’ampleur des dégâts en cas de détérioration. En plus de tous ces éléments la « Lamborghini of the Terzio Millenio » profitera d’un système de conduite autonome.

 

Hypercar écolo ?! La sauvage Lamborghini Terzo Millennio

 

Cette voiture incarne donc les premières étapes d’une future Lamborghini électrique, et inspirera certainement d’autres constructeurs à suivre la voie des énergies renouvelables, à un âge où des sceptiques considèrent encore que ces dernières ne dépeignent pas l’avenir. On ne peut que féliciter la marque au taureau d’or, qui depuis l’époque de Ferruccio Lamborghini, à toujours su proposer des modèles de voitures innovantes.

Retrouvez également notre article sur la toute dernière Porsche électrique ICI. 

Article de Roman G.

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